Le rapport introduit que : "si l’importance de la santé physique apparaît évidente, aussi bien aux yeux du grand public que des professionnels de santé et des responsables politiques, il n’en va pas de même pour la santé mentale" [...].

Les rapporteures indiquent également que "certaines étapes de l’existence des femmes entraînant des bouleversements importants pouvant conduire à des difficultés qu’elles ne sont pas toujours en capacité d’affronter seules. Ainsi, l’adolescence est une période délicate, susceptible d’engendrer un mal être ou une souffrance psychologique marqués" et consacrent donc un chapitre à l'adolescence.